Hugues et la passion de l'écriture

La vie est pleine de surprises

de temps forts, de temps de crises

C'est des années après le septième fléau

Que commence l'histoire de ce héros

Né sur une île lointaine sans monarque

Ce héros voulut s'enfuir et s'en alla

Là où dans l'histoire il laisserait une marque

Et débarqua à Limsa Lominsa

Loin de chez lui laissant sa vie d'artiste

Pour qu'un jour la paix puisse naître

Débuta en tant qu'arcaniste

Ainsi la magie imprégna son être

Il était seul et au bord de la banqueroute

Perdu au fin fond de la noscea

Il rencontra des compagnons de route

L'humble compagnie Casa Nostra

Lui qui était si solitaire

Il se sentit enfin à sa place

On est plus forts en étant solidaires

Et leur famille devint un palace

Pour ses amis il était boute en train

Devenu un personnage haut en couleur

Son humeur décalé allait bon train

Pour faire rire ses frères et soeurs

Mais il fut aussi adopter

Par Yshtola, Alphinaud, Thancred

Minfillia et les autres héritiers

Et fut pour eux d'une grande aide

Afin que se termine enfin cette guerre

Ce héros devenu célèbre

Dans un autre monde nimbé de lumière

Devint le guerrier des ténèbres

Faisant fi de son triste sort

Combattant contre lui-même

Sous les yeux de ceux qui l'aiment

Périt Arcalon Cendresort

Deux frères arpentent le chemin

Deux frères battent à l'unisson

Ils regardent le même horizon

Le premier frère est repoussé au loin

Car le deuxième va coucher

Une femme les a séparés

Le premier frère s'en va loin

et bloque toutes les portes

Le deuxième s'emporte

Le Premier se sent trahi

Sali dans son amour propre

Le deuxième veut que ça se reconcilie

Le feu ne peux être défait par le feu

Le premier frère recule et se désunit

Il est désomais heureux

D'avoir trouvé une autre fratrie

Je rêve d'un monde de coopération horizontal où l'on écrase plus l'autre pour monter à l'echelle sociale

Je rêve d'un monde où le prolétariat est au coeur de la politique et de l'entreprise car sans lui, rien n'est possible

Je rêve d'un monde où le travail et la nourriture sont justement partagés, et c'est possible à notre époque

Je rêve d'un monde où l'on laisse la parole aux jeunes et où les personnes agées sont au centre de la communauté pour distribuer leur sagesse et leur histoire du passé

Je rêve d'un monde où l'on repars des grandes villes pour repeupler les petits communautés, je pense que le coeur d'une bonne vie en société est une petite communauté où les gens se connaissent et se rendent service

Je rêve d'un monde sans échange commercial, sans troc basé sur la générosité et le service à autrui

Je rêve d'un monde où nous sommes les Gardiens du Vivant, où ne ne sommes plus les prédateurs des animaux, végétaux et même minéraux

Je rêve d'un monde où le mot gentilesse n'est plus considéré comme une faiblesse et où l'on tient à la dignité de son prochain autant qu'à la sienne.

Je rêve d'un monde où les habitations sont contruites en harmonie avec la nature

Je rêve d'un monde où l'homme a appris à mieux utiliser la technologie car actuellement elle le domine

Je rêve d'un monde où tout individu peux se sentir à sa place et peux s'épanouir peut importe qui il est où comment il est.

Mais tout ceci est actuellement compromis par la rechcerche du pouvoir et par les conflits extérieurs, qui sont selon moi le fruit de conflits intérieurs.

Quand une masse de personnes aura réellement appris à s'aimer, n'aura plus besoin de plaire pour se plaire et ainsi exister alors le monde changera en profondeur. Il faut comprendre que nous sommes beaucoup à ne pas savoir s'aimer. Mais ce n'est qu'une question de temps, le changement intérieur a déjà commencé chez certains individus

S'aimer suffisamment permet d'être autosuffisant en amour et ne plus rien attendre des autres. L'unité dans le monde, un monde plus juste commence par un changement intérieur en nous.

 Merci de m'avoir lu,

Hugues

Enfermé dans ma bulle, prisonnier de ma tête

Je croyais, crédule, ne plus rien être

C'est fou comme le temps passe, la tête dans son nombril

Sans que rien ne se passe, toute  une vie qui défile

Tous les jours, c'est le même schéma

Quand j'avance, je recule d'un pas

C'est toujours la même angoisse

Toujours  le regard de la foule

C'est tout ce qui me tracasse

C'est  le rejet qui me saoule

Tombé dans son ivresse

Devant son regard enchanteur

C'est un espoir qui me presse

J'y vois enfin une lueur

C'est fou comme une histoire d'amour

Peux créer une impulsion

Se relever chaque jour

Me libérer de ma prison

Si  je dois enfin me battre

C'est pour moi, cet espoir de fou

Déplier mon coeur en quatre

Donner une chance à un "je", à un "nous".

Elle se bat

Ele se bat tous les soirs

Pour relever son regard hagard

Elle sombre

Elle sombre dans le désespoir

Elle ne peux plus y croire

Il a peur de la décevoir

Chaque jour et chaque nuit

Il absorbe, il subit

Tous ce qu'il prends, tout c'qu'l prends lui nuit

C'est comme ça tous les soirs

C'est son exutoire

Pour fuir son regard

Son purgatoire

Il creuse sa tombe

Dés qu'il succombe

Le chagrin de son père

Peu à peu l'enterre

Mais elle ne le laissera pas se détruire

Elle l'aime malgré qu'il veuille la faire fuir

Qu' tous les soirs, il se donne en spectacle

L'amour d'une mère, c'est un vrai miracle.

Il est de ces hommes

qui nous marquent à jamais

Moi c'était dans la paume

De ma main que je te tenais

Tu fus pour moi tant de promesses

De la gentillesse, de la sagesse

Un tout premier poème

Pour un amour fraternel qu'on sème

Je t'ai vu grandir sous mes yeux

Je te revois tout petit

Tu m'as rendu heureux

Pendant deux décennies

J'ai toujours souri

Devant ton honnêteté, ta simplicité

Et je reste ébahi

Devant ton sens de la justice et du respect

Maintenant tu te hisses, 

homme parmi les Loups

Dans ce monde de vices

Pas craintif pour un sou

Et moi, je suis vraiment fier

Fier d'être ton frère

Il est de ces personnes

qui se perdent en chemin

Toi tu es de ces hommes

Prêt à tendre ta main

Mais tu n'es pas fou pour autant

Je te connais, tu es prudent

Il est de ces hommes qui sont des déceptions

Toi, tu es celui qui m'apporta ma première inspiration.

Toute l'eau tombe et s'écoule

C'est comme une étoile qui se saoule

Tombée du blanc jusqu'au noir,

Accroché à de faux espoirs

Je suis dans un hamac, parfois tout bascule

Parfois, je gesticule et me bouscule

Je suis force et desespoir,

Mais dans le noir, dites moi encore qui croire ?

J'voudrais quelqu'un près de moi

Une fille que je réchaufferai dans le froid

Cette fille, j'aurai voulu que ce soit toi

Devant tant d'audace et de grâce, je reste coi

Je veux rester fort et dur comme le gré

Mais je pleure sur ce qu'on ne sera jamais

Sur tout ce que je voulais

Pour toi, pour nous, voilà mes regrets

Maintenant, je dois vivre avec mes doutes, mes peurs

Et tout ce que j'ai sur le coeur

Tout ce que je pense, mon envie de me battre se tisse

Et forme mes premières cicatrices

Un jour prochain de soleil ou de vent

Je rencontrerai la plus gentille des filles

Celle avec qui je me sentirai vivant

Et enfin, je vivrais mon idylle

Toute l'eau tombe et s'écoule

C'est comme une étoile qui se saoule

Remonté du noir jusqu'au blanc

J'y songe encore de temps en temps

Ce matin, c'est vers toi que mes pensées fuient

Ce matin, si je marche sous la pluie

C'est que je ne sais quoi te dire

Pour qu'enfin, tu puisses t'ouvrir

Il y a des fois où tu fais battre mon coeur

et des fois où je pleure

Je ne sais plus quoi penser

de ce qui s'est passé cette année

Tu m'as profondément blessée

Au point d'en avoir la nausée

Pourtant, je ne cesse de t'aimer

Il n'y a pas un jour où je ne crois

que nous sommes fait pour être deux

Mais parfois tu es si maladroit

Que mon âme est empreinte de bleus

J'aimerais tellement rentrer dans ta vie

Connaître tes parents, ta petite fille

Mais comme tes lèvres, tes portes sont closes

Je suis perdue, je reste morose

J'espère encore que tu me fasses juste un signe

J'ai tellement de mots à te faire parvenir

Mais tu reste stoique, pas un seul oeil ne cligne

et j'ai tellement peur de te faire fuir

Plus le temps passe moins je peux

Me résoudre à t'abandonner

Pour toi, est ce peut-être un jeu

Toi pour qui je pourrais tout donner

Et si, un jour, la lumière illumine tes yeux

Et que de tes peurs tu te délivres

Sache que je saurais te rendre heureux

Comme ces histoires, comme dans les livres

Mes pensées s'envolent ce soir

Mais je garde toujours un espoir

Qu'un beau jour ou bien une nuit

Vienne ce moment où nous serons unis

Un jour, je la trouverai

Celle qui m'est destinée

Dans un lieu, un ilot

En buvant mes sanglots

Notre amour sera un horizon

Comme un chang'ment de saison

Je lui écriai peut-être

une longue lettre

Comme une bouteille à la mer

Sentant son parfum dans l'air

Devant tant de beauté

Je l'emmenerai, incrédule

Tout au bout de la jetée

L'embrasser au crépuscule

Il y a tant à la connaître

Et tant à l'aimer

Je l'emmenerai peut-être

Sous les cocotiers

Sur une plage déserte

Entendre le chant des oisillons

Sourire sur sa bouche entrouverte

Suivre ses doux sillons

Mais moi, l'âme en fleur

Je lui offrirai mon coeur

Tel un jardin sur fenêtre

Comme dans ma tête

Tu sais, toi qui m'attends au loin

Je surmonterai mes chagrins

pour que tu m'aimes encore

Toi dont le sourire vaut de l'or

Une coupe à la main

Sous une lumière tamisée

Je savourererai

Ce moment immortalisé

sur un plancher se pose

Un chemin de pétales de roses

Menant à un poème

Contant combien je t'aime

Tu sais, toi que je perçois au loin

Toi qui a le même chagrin

Nous nous retrouverons

Pour connaître un bonheur profond

Et quand l'heure arrivera

De souffler notre dernière chandelle

Prenant ma main, tu me souriras

On se retrouvera dans l'éternel

Il fut un temps

Où je la portais

Maintenant j'attends

Mon isolement

Elle va vivre sans moi

Pas un seul émoi

Partir loin de mes yeux

Elle sera heureuse

Et moi, sans merveille

Comme un ciel sans soleil

Je partirai, chagrin

un peu tous les matins

Refrain : 

Tu sais, je l'aime d'un amour amer

comme un marin en pleine mer

comme un couple à Venise

Comme un feu qu'on attise

Il y a des jours où je ne peux plus

Vivre ce que je ressens

Quand dans ma tête il a plu

Comme dans un gouffre béant

J'irai écrire son nom

dans une larme, tout au fond

de mon coeur enterré

de mon coeur entêté

J'irai me connaître

seul, dans ma tête

J'irai hurler son nom

Sans un seul son

Tu sais, je l'aime comme un enfant sourit

Je l'aimerai un peu toute ma vie

J'irai  tisser les grandes voiles 

La veillant comme une étoile

Je suis son arbre protecteur

Elle prends racine dans mon coeur

Je la rattraperai avant qu'elle s'en aille

Pour de plus belles retrouvailles.