Le monde va mal, et pourtant beaucoup d'entre nous cherchent le même but : le bonheur, la paix, l'équilibre. Mais connaissons nous le bonheur en le cherchant à l'extérieur de soi ? Tous ces objets que nous possédons ne nous apportent qu'une joie éphémère. Connaissons nous la paix quand nous apportons le conflit au coeur d'une famille, d'une communauté ?

Nous passons notre temps à voir les défaut des autres sans jamais voir les nôtres, sans jamais se poser de questions sur nos comportements et nos aspirations profondes.

Comment connaître la paix et l'harmonie lorsque nous attachons à notre bien-être sans jamais se soucier du bonheur des autres. Un jour, ce qui touche la vie d'un ami, un confrère un inconnu nous touchera d'une manière ou d'une autre.

Nous n'allons plus vers l'autre, dans la rue les regards ne se croisent plus, nous avons peur des gens que nous ne connaissons pas, or ils sont tout comme nous, ils tendent en général vers les mêmes envies.

Chaque jour nous nous demandons "ça va ?" sans parfois vraiment ce soucier si la personne va bien.

Ne soyez pas trop hâtifs à juger quelqu'un. Tout a un sens. Ce n'est qu'à travers une vraie solidarité et une vraie compréhension de l'autre que nous trouverons bonheur, paix et équilibre. Nous aimons tous être compris mais ne cherchons pas à comprendre l'autre.

Beaucoup pense que je suis malade, un peu fou, trop rêveur, trop utopiste. Peut-être est ce vrai, mais peut-être pas.

En 2008, j'ai eu une expérience des plus troublantes. Je lui ai mis beaucoup de noms, crise de délire, état de transe, état de conscience modifié.

C'est quelquechose qui n'a pas du tout été compris, ni par le corps médical, ni par ma famille, et j'avoue que j'ai eu du mal à mettre de l'ordre dans tout ça. Ce fut réellement délirant mais tout en même temps, j'ai ressenti comme si quelqu'un veillait sur moi et m'apprenait des choses.

Et surtout, j'ai vu des images défiler à toute vitesse dans ma tête. L'une d'elle particulièrement m'a particulièrement touchée.

Il y avait une grande lumière orangée qui émanait de partout, les maisons étaient rondes et de plein pied. Et surtout, chaque personne tenait au bonheur et au bien être de son frère, il y avait une réelle fraternité.

Peut-être n'est ce qu'un rêve, peut-être pas mais je crois que c'est notre destination, peu importe le chemin et la distance à parcourir.

Les gens désespèrent de plus en plus. La télé montre le mal partout malgré les gens biens qui existent. Mais même les gens biens n'ont plus cette solidarité. La modernité, l'exode rural, les technologies nous coupent les uns des autres

Alors comment faire ? Il n'y a pas de recette miracle, tout cela passera par un réel changement de mentalité. Je me répète, ne soyez pas trop hâtifs à juger, à critiquer. C'est juste un moyen de se donner de l'importance.

Et si quelqu'un vous dit quelquechose de méchant, n'en faites pas une affaire personnelle, le problème vient avant tout de cette personne.

Nous devons retrouver cette solidarité, l'Humanité est au bord de l'effondrement, il ya des crises dans tous les domaines. Et pourquoi ?

Parce que plus personne ne se soucie des autres. Ni les grands patrons, ni les politiciens, ni le peuple.

C'est un des défis de Notre époque de Notre Histoire. L'Histoire est faite par les gens qui la vivent.

Je suis peut-être un des derniers qui espèrent, un des derniers rêveurs.

Moi aussi, je dois changer certaines choses dans tout ce que j'ai dit plus haut. Ca aussi, nous devons le comprendre. Nous ne pouvons pas changer les autres, encore moins à notre image. Nous ne pouvons que nous changer nous-même. Or si tout le monde s'aplliquait à changer ses comportements, ses habitudes (de consommation aussi) nous changerions le monde

A bon entendeur, salut

Hugues

La fraternité

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